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La théorie suivante se concentre sur l’analyse de généralités concernant le gauchisme et le féminisme contemporains, uniquement à travers le prisme des expériences personnelles.

Le gauchisme, parfois décrit comme une maladie mentale, pourrait se caractériser par une honte de soi profondément ancrée chez une victime ou un témoin d’agressions physiques durant l’enfance. Ce type de traumatismes pousserait les individus non résilients à chercher refuge dans des idéologies où la soumission et la flagellation sont prédominantes.

Cette honte de soi pourrait se manifester par une recherche constante de rédemption pour des fautes perçues ou réelles.

Quant au féminisme occidental, branche du gauchisme et tronc de la misandrie, il découlerait d’une haine de soi, née principalement d’agressions sexuelles interéthniques. Ces expériences traumatisantes pourraient engendrer un rejet de tout ce qui rappelle l’agresseur, notamment sa race. D’où une fascination possible pour l’exotisme, perçu comme une échappatoire directe ou non.

Dans cette optique, l’affaiblissement de l’homme blanc par sa déconstruction et son remplacement par l’étranger deviennent pour ces femmes des objectifs à atteindre. Une façon de reprendre le contrôle.

Ainsi, cette perspective démontre que le gauchisme et le féminisme seraient moins des choix idéologiques que des mécanismes psychologiques. Ces mouvements serviraient d’exutoire, et permettraient simplement de lutter contre un sentiment d’impuissance antérieurement ressenti.

Pourtant, en soutenant opportunément de telles ambitions, les gouvernements en place n’ignorent pas qu’ils prennent des décisions contraires aux intérêts sociétaux, allant jusqu’à mettre volontairement en péril la stabilité de la civilisation occidentale.

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