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Écrits Pamphlétaires

L’oeuvre panphlétaire et ses sous-genres littéraires se révèlent violemment critiques envers leurs sujets (individus, dogmes, États, etc.), et ont souvent pour objectif de démontrer l’absurdité d’une situation en poussant le lecteur dans ses retranchements.

Ils s’opposent à la bien-séance, et sont à différencier du genre purement polémique qui engage un débat et suppose un discours adverse lacunaire. 

Le pamphlet, lui, est plus direct et ne s'attache pas à une preuve précise, il affirme ce qui est et ce qu'il faut combattre, sur un ton généralement grave ou froid, telle la diatribe. À l’inverse, la satire s'appuie sur une rhétorique du mépris et de la moquerie en cherchant à faire rire, et va plutôt s'attacher à un fait en grossissant l'erreur pour montrer le gouffre avec la réalité.


La Femme Vénale

Quand tu ne peux lui offrir que ton argent, que peut-elle espérer de plus honorable ?

Quand tu n’as ni le savoir-faire pour lui construire un foyer, ni la volonté pour lui réparer votre intérieur, ou entretenir votre extérieur... L’argent compense !

Quand tu ne la voit plus qu’à travers les yeux des autres... L’argent compense !

Quand tu la dénigres, ou t’amuses à la trahir... L’argent compense !

 

L’argent achète tout ! Même certaines femmes. Mais l’argent ne suffit pas à acheter les valeurs de certaines autres.

Une femme vénale se gagne... Une femme de valeurs se mérite !


Un homme, rustique et moderne, se cherche par toutes celles qui veulent l’aimer, à la hauteur de ce qu’il leur offrira de tout son être. Alors, que celui-ci ne se contente pas de moins qu’elles.

 


09/02/2021
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Ce sein qui ne sert plus à nourrir

Avoir un enfant implique forcément de devoir faire des sacrifices...

Et ce sont ces sacrifices qu’aujourd’hui quasiment plus aucune femme ne veut faire sous couvert de progrès.

On ne veut plus souffrir, plus pousser, plus s’abîmer... On veut un enfant sans rien faire... Parfois même sans sexualité.

Alors, quand il s’agit de décider d’allaiter ou non... N’en parlons pas !

Bah si justement, parlons-en...

C’est parce que certaines biberonnantes se sentent jugées par les allaitantes que ce débat fait rage. Mais est-ce un jugement ou un simple raisonnement ?

Voyons, à qui viendrait l'envie de ne consommer, à chaque repas, que des sachets d'une vulgaire soupe déshydratée, accompagnée de ses petites gélules de vitamines en guise de dessert... Et ce, pendant au moins 4 mois ? Bien sûr, entre choisir de crever de faim ou d'ingérer cette mixture... Le choix est vite fait ! Mais ne serait-il pas bon de savoir qu'on ne peut se nourrir exclusivement d'aliments morts, sans que cela n'ait de conséquence sur notre santé ?

Ceci dit, que l’on me pardonne de ne pas approfondir ici et maintenant, mon côté pédagogue étant réservé aux enfants... Mais que l’on se rassure, il y a des gens qui s'occupent très bien d'informer les plus grands.

Qu'il ne soit possible de donner le sein pour raisons médicales (rares) mises à part, que l'on cesse de nier que l'allaitement n'est pas ce qu'il y a de mieux pour un bébé ! D'ailleurs même la pub pour lait infantile le scande ! Évitant ainsi, je suppute, la légitimité de futurs procès... N’est-ce pas là une preuve irréfutable de l’importance de l’allaitement ?

Et la science... Qu’a-t-elle à nous apprendre ? Eh bien, qu’il serait largement souhaitable de donner le sein juste après chaque naissance ! Puisque le colostrum est le premier lait durant les 5 premiers jours après l’accouchement, et cela chez tous les mammifères. Ce lait très spécial est un liquide épais jaunâtre qui a la mission de transmettre au nourrisson les résistances immunologiques de sa mère.

Il est doté d'immunoglobulines capables d'assurer les défenses immunitaires dont le nourrisson est totalement dépourvu à la naissance. Ses anticorps jouent un rôle anti-infectieux et agissent comme un vaccin - dont ne peuvent profiter les bébés nourris dès le départ aux laits en poudre, ce qui sert de justificatif à la rafale de vaccins du premier âge que l’on nous impose.

Le colostrum est en outre bourré d’hormones anabolisantes, et c’est d’ailleurs pourquoi dans le monde des courses hippiques, on dit qu’un poulain qui n’a pas eu de colostrum ne fera jamais un champion.

Si les femmes persistent à préférer le lait artificiel, au moins qu’elles arrêtent de justifier leur décision avec des arguments du style : « Mais si j’allaite, Papa ne pourra pas donner le biberon à sa progéniture... » ou « Et la beauté de mes seins alors ? » ... Hum, Papa, t'es encore là derrière p'tit coquinou ! Tu aurais dû suggérer à ta femme de faire appel à une mère porteuse, ça t'aurait évité de nager là où avant tu étais serré.

Les mères qui font le choix de ne pas allaiter, ne le font certainement pas en toute connaissance de cause... On peut donc en déduire qu'elles sont inconscientes (mal informées), égoïstes (ramenant tout à elles), soumises (déléguant leur autorité maternelle), et irresponsables (négligeant la santé de leur enfant).

Malgré les apparences, je dis ça absolument sans haine. Comme pour tout, je tente toujours d'être la plus objective possible.

En conclusion, puisque je ne vois guère l'intérêt d'exposer davantage les bénéfices de l'allaitement ou les inconvénients du biberonnage... Je précise quand même que le problème n'est pas le contenant mais bien le contenu.

La bonne question n'est pas de savoir si le lait maternel est indispensable, car la réponse on la connait... Mais plutôt demandons-nous si le lait artificiel, lui, l'est ?

 


11/07/2020
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Froisser ou mépriser

Je ne déblatère pas que pour le plaisir de contredire la pensée collective, puisqu’il m’arrive même de m’en prendre à tout le reste.

Tu aurais tort de croire que la médiocrité du peuple m’aide à jouir d’une supériorité que seuls les bienpensants détestent.

Et détrompe-toi, je n’ai pas un avis sur tout, donc ne me cherche pas, je fuis le débat comme la peste.

Je suis une individualiste, un électron libre qui œuvre grossièrement contre l’idiotie.

Il est vrai que les fois où je l’ai ramené, je t'ai plus froissé que ne le seront jamais les guenilles de ta penderie.

Mais estime-toi chanceux de l’attention que j’ai bien voulu t’accorder, elle est toujours plus constructive que mon mépris.

 


08/01/2020
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Les célibataires frustrés

Messieurs les concernés,

 

Cessez de geindre lorsque vous voyez une femme exposer souhaits et exigences en amour, sous prétexte que vous n’y correspondez guère.

À vous de vous améliorer, ou d’accepter qu’il existe d’autres hommes plus aptes à la satisfaire.

 

Cessez aussi de geindre lorsqu’une femme vous brise indélicatement le coeur alors que, quand vous l’avez rencontrée vous n’avez pas cherché à la connaître en profondeur, ou que vous n’avez jugé utile de la questionner sur ses histoires avec d’anciens partenaires.

Peut-être que si vous aviez été moins occupés à fantasmer sur les orifices de son entrejambe, vous auriez pensé à le faire.

 

Mais pourquoi donc continuez-vous à geindre, alors que vous n’avez enfin plus aucun effort à fournir depuis que vous êtes célibataires ?

Certes, je reconnais volontiers que les mouchoirs ou les prostituées finissent par revenir cher.

 

Les hommes et les femmes ne sont pas égaux, et ne le seront certainement jamais... Vous le criez haut et fort depuis toujours ? Moi aussi, mais pour des raisons qui diffèrent.

Prendre pour exemples et modèles de relations vos grands-parents, ou le tiers-monde, relève d’un manque flagrant d’impartialité. Car non, la femme n’a pas changé, elle a juste retrouvé sa liberté, de penser, d’agir, et de jouir de son existence... grâce aux premières générations de féministes intellectuelles.

Mais j’invite tous les abrutis que ces faits dérangent, à aller se faire voir brutalement par l’un de leurs congénères, masculin et arriéré... Rare solution que je peux leur proposer s’ils veulent persister dans la domination culturelle.

 

 

« Certains hommes n'ont que ce qu'ils méritent : les autres sont célibataires. »

Sacha Guitry

 


19/10/2019
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Généralités humaines

 

L’Homme voit le mal et le vice partout, reflets de ce qu’il incarne.

Il est incapable de se détacher ou de prendre du recul sur les situations. De ce fait, Il est aussi rarement apte à comprendre l’humour et le second degré.

Quand il se sort les doigts du cul, c’est souvent pour pointer l’un d’eux vers l’individu qui n’accepte de penser comme lui ou d’adopter ses comportements de dégénéré.

Jamais il ne parviendra à faire taire mes constats à son sujet, et qu’importe le ton que j’emploierai, celui-ci sera toujours à la hauteur de ses stupidités.

Également, jamais je ne mâcherai mes mots ni n’adoucirai mon vocabulaire quand il s’agira de contrecarrer son faux self d’aliéné.

Son déni de lui-même et ses dogmes lui pèteront à la gueule en temps et en heure, et à partir de là les échanges entre lui et le reste du monde pourront s’harmoniser.

Mais en attendant, je ne baisserai guère les armes, je continuerai même à les recharger.

 


14/10/2019
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Moi VS Soi

Se sentir observé par quelque chose de plus grand... Connaissez-vous cette sensation ?

Très sincèrement ce n’est pas super agréable ! Personnellement, je n’ai jamais vraiment apprécié que l’on veille sur moi ou que l’on me jette un regard à la limite de la condescendance. 

 

Je m’explique, quand je suis sur le point de prendre une décision radicale, toujours pour mon bien pourtant... Désormais, c’est comme si le temps s’arrêtait, histoire que je savoure pleinement la confrontation entre mon Soi et Moi-même... Là, les yeux dans les yeux ! 

Bon ça va que ce n’est que lui, parce que ce genre d’échange profond n’a jamais été très apprécié de mon côté autiste évitant.

 

Alors voilà, la conversation pourrait ressembler à ce qui va suivre :

Moi - Nom di diou ! Si l’autre se comporte ainsi dès le départ, ceci n’annonce rien de bon pour la suite tu crois pas ? Ouais t’as raison, montre-lui que t’es pas le genre de nana à accepter ça.

Mon Soi - Hop hop petit être de lumière à qui il arrive d’oublier sa condition... Qu’est-ce que tu nous fais là hein ? Regarde moi dans les yeux quand je te parle s’il te plaît...

Moi - Tu fais bien de dire « s’il te plaît » oui ! Et sinon t’as pas l’impression que mon matricule est un peu long ? Bon ok ok, peut-être qu’il ne l’a pas fait exprès... ... Mon cul ouais ! Il a menti le vilain, et je dois faire comme si j’étais aussi naïve qu’il l’espère ? Aaaaaaah... Allez d’accord, ça va pour cette fois, je laisse couler.

Mon Soi - Bravo ! Je suis si fier de toi.

Moi - Mouais... T’as de la chance que j’t’aime toi... Mais tu entendras parler de Moi jusque dans l’astral si je suis amenée sous peu à m’en mordre les doigts !

Mon Soi - Tu es trop bonne...

 

Moi - ... Tu sais ce qu’on dit à ce propos chez nous ? Oh et puis chut, garde ton innocence et reste pur... Je gère ça pour toi.


04/08/2018
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Pourquoi n’aimé-je pas les beaux ?

Je n’aime pas les beaux parce qu’ils sont déstabilisants… 

Éh oui, t’as beau avoir confiance en ta beauté relative, sortir avec un dieu vivant n’est pas de tout repos ! Car forcément, tu ne peux pas te laisser aller trop souvent. Forcément, tu subis les regards supérieurs des plus belles, et les envieux de celles qui le sont moins. 
Et forcément, tu as du souci à te faire… Les études le confirment : L'attrait pour la beauté domine l’amour, tout comme le désir d’ailleurs.


Fort heureusement, la beauté n’est pas que physique, et je crois sincèrement que les autres formes de beauté la surplombent aux yeux d'un grand nombre. Une personne à l'humour subtile ou mature, à la peau soyeuse, ou à l’odeur envoûtante, à la voix sensuelle et assurée, ou aux yeux malicieux… Plein de qualités désirables que quelqu’un de beau peut ne pas réunir.

 

Les beaux qui préfèrent les "moches" (entre guillemets), peuvent éventuellement souffrir de jalousie excessive, qu’un tel choix peut contenir. Ce peut être également un manque de confiance en soi… Non, les deux n’étant pas systématiquement liés selon moi.
Mais la réalité, c’est qu’il existe des gens qui n’ont pas d’a priori, qui se fichent du décalage esthétique de leur couple.
Puis, il y a à l’inverse, des moches qui n’aiment que les beaux {Courage les gars…}, se sentant alors valorisés… Ceci comblant certainement une estime d’eux-même trop faible.

 

Je n’aime pas les beaux parce qu’ils n'ont que rarement ce grand quelque chose… 
On trouve souvent qu’ils sont égocentriques, prétentieux, trop sûrs d’eux, et plus superficiels que ce qu’ils auraient été en étant un peu moins gâtés.

 

Je n’aime pas les beaux parce que dans le fond, ils sont malheureux… 
Être beau, c’est comme être riche… Tu ne sais jamais vraiment si tu es honorablement convoité. Ceci peut prêter à sourire, mais franchement, et à titre personnel, je considère cette beauté comme une tare. Je n’aurais vraiment pas aimé être "trop belle"… Me faire draguer à tout-va, non très peu pour moi !

 

Et L’intelligence alors ? 
Eh bien, je crois véritablement qu'elle est aussi un moyen de compenser un physique désapprécié.
Je pense également que cette première résulte de grandes souffrances psychiques, lorsqu'elle n'est pas innée. Voilà pourquoi il existe tout de même des beaux intelligents. Nous voilà rassurés... 

 

Pour conclure, les plus beaux ne sont pas à plaindre pour autant, mais de là à les envier...
Les plus chanceux sont ceux au physique modeste… Parce qu’ils ont le choix… Celui de savoir se contenter de peu, et celui d’avoir la possibilité de mieux.

 

« La beauté est une demi faveur donnée par Dieu, l'intelligence en est une entière. » 
Les proverbes peuls du Sénégal (1984)


03/04/2018
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Le véganisme est un mode de vie irréversible

Hommage à tous ces individus qui se disaient vegans... À tous ceux qui sont parvenus à renier leurs convictions morales, sous couvert d'un régime alimentaire désastreux...

Et hommage à toi l'ami ! Toi, ce frère, ce collègue, ou cet inconnu qui quotidiennement colle au cul des végéta*iens tes merdiques arguments scabreux...

 

Allez, supposons que ne manger ni viande, ni poisson, ni œuf, ni laitage... Représente un danger pour la santé {laughing out loud}... Que les choses soient bien claires, un (vrai) vegan, par définition, ne pourra jamais renoncer à ne plus contribuer à la souffrance animale !

Ce qu’il a conscientisé durant ses cruelles recherches, "c’est comme le vélo, ça ne peut s’oublier.", même s'il aimerait ! Crois-moi l’ami... Si seulement il pouvait encore faire comme toi, toi qui persistes à patauger dans ta confortable ignorance, et qui te convaincs que tout est parfaitement normal...

 

Pour ta gouverne, un vegan qui fait le choix de le devenir, uniquement pour une question de santé, n'est au mieux qu'un végétalien. Ce dernier n'ayant pas forcément l'intégrité viscérale du premier... Excuse-moi du peu !

Quoi qu'il en soit, n'existerait-il pas à notre belle époque des bidules nommés "multivitamines" pour combler d'éventuelles carences ?

Il y a des centaines de façons de se nourrir, et la plupart des gens le font mal, les omnivores en tête de liste... Ces mêmes qui mangent des animaux complémentés. Pourtant les labos n'ont pas attendu les pauvres végés dénutris pour se faire des roubignoles dorées, que je sache !

 

L'on tentera toujours de foutre le discrédit sur cette cause qu’est la défense animale par le véganisme* ou le végétalisme**, aussi parce que certains ne seront jamais fichus d'adapter leur régime alimentaire en fonction de leurs déconvenues ou besoins nutritionnels.

À trop vouloir suivre des recommandations culinaires, un sérieux manque de discernement émerge...

Un exemple ? Eh bien accroche-toi à ton slip l'ami ! Certaines personnes renoncent au véganisme {euh végétalisme}, parce qu'elles... pètent !

Sans blague, c'est bien le dernier argument en date que j'ai entendu. Oh ne ris pas je t'en prie... Joignons plutôt nos mains, et implorons le Dieu du Pet afin qu'il préserve les adeptes de la légumineuse en folie...

 

En tout cas l'ami, inutile de devenir vegan si ton espoir le plus fou est d'être moins con... ça ne sauve pas toujours.

 

Quant à la fameuse question de survie du vertueux vegan échoué sur une île, que beaucoup de carnistes {dont tu dois faire partie l’ami} ne peuvent s’empêcher de poser... Déjà, cela serait quand même point de bol d'atterrir sur une île en plein désert... Hein ? Bon donc en théorie, si des animaux subsistent, des végétaux, arbres et fruits le peuvent aussi... Tu crois pas l'ami ? Et puis, faut vraiment être un crétin à deux jambes pour croire qu'il est faisable de survivre en milieu hostile, alors qu'au-delà de ses sentiers balisés, l'Homme n'est qu'une minable proie qui n'a plus que pour instinct de survie sa supériorité. Et ça peut suffire un temps, d'avoir confiance en ce que nous sommes, sauf si ce que nous croyons n'est que "fourvoiement".

 

Également, avant d'affirmer que tu pourrais tuer un animal à mains nues... S'il te plaît, n'omets pas que tu devras le bouffer cru... Car non l'ami, tu ne sais pas faire de feu pour le cuire ! Tes ancêtres ont su mais toi tu n'es qu'un Homme moderne.

Alors, choisiras-tu de cueillir ou de tuer... ?

 

Intègre aussi, autant que faire se peut, qu'une grande majorité d'actuels végétaliens pourrait sans grande difficulté remanger temporairement de la viande si ses conditions de vie étaient amenées à se dégrader.

Mais, méfie-toi que cette viande ne soit pas la tienne !

 

L'homme n'est pas supérieur sous prétexte qu'il sait créer des villes et des vaccins ; Tout comme l'araignée n'est pas supérieure parce qu'elle sait tisser des toiles ; Ou tout comme virus et bactéries ne sont pas supérieurs sous prétexte qu'ils nous niqueront peut-être tous demain.

 

Et sinon, pour argumenter le fameux cri de la carotte, va voir ailleurs si j'y suis, mon pote !

Ma B.A. du jour envers les humains s'achève ici et maintenant.

Vexé, tu m'accuseras injustement d'être misanthrope...

Blasée, je me mettrai à pleurer en te criant que tu mens...

Et notre grande amitié prendra fin.

 

 

 

* Le véganisme est un mode de vie excluant les produits animaux et activités les exploitant.

** Le végétalisme est une pratique alimentaire excluant la consommation de viande et de produits issus des animaux.


07/12/2016
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Agression sexuelle à la maternité

 

Je lui ai dit que je ne voulais pas... Mais il l'a quand même fait !

J'avais peur et j'étais si fatiguée... C'est donc dans la position la plus humiliante qui soit, que ce tout puissant Docteur a délibérément bafoué mes droits.

~~~Banal égal normal~~~ ... C'est en appliquant ce principe qu'un acte comme l'excision a encore de sombres jours devant lui.

Et l'épisiotomie alors ? Le parallèle est facile à faire... Elle aussi est une mutilation, qui peut avoir un retentissement définitif sur la sexualité de celle qui l'a subie... Que ce soit à cause de la douleur qu'engendre la coupure, ou en lien avec le traumatisme de cet acte barbare.

Ce n'est pas parce qu'elle est réalisée par un médecin qu'elle n'en est pas moins abjecte.

Il y a la blessure en elle-même, et sa réparation (parfois à vif), puis sa cicatrisation éprouvante, et donc sa cicatrice... Qui quant à cette dernière, laisse pour toujours le souvenir de ne jamais pouvoir oublier.

De plus, l'épisio est souvent injustifiée, disproportionnée, et réalisée sans consentement (éclairé).

Je me dois de préciser que je n'ai heureusement rien ressenti car j'étais sous péridurale, mais que si cela n'avait pas été le cas, je ne m'en serais jamais remise !

Ils se foutent de vos désirs, de votre passif (parfois lourd), et de ce que vous pouvez ressentir... Ah comme le corps médical est formidable ! Mais... ~~~Ce n'est pas parce que Dieu est grand qu'il n'est pas petit...~~~

 

Je ne devais pas accoucher de façon conventionnelle... C'est pourquoi, le conditionnement n'a pas fonctionné sur moi, et je me suis donc prise en pleine conscience, toutes ces banales ignominies que l'on fait subir aux femmes et leurs enfants.

~~~Si le progrès est une chance, son excès est une offense...~~~

 

 


16/05/2016
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